Face aux pelotons nazisSouge, le mont Valérien du bordelais
À travers l’histoire tragique des 257 fusillés du camp de Souge, aux portes de Bordeaux, cet ouvrage, débordant très largement du cadre régional, nous entraîne dans une étude chronologique et rigoureuse du processus des exécutions d’otages mis en place par les Nazis de 1940 à 1944.
La première partie (juin 1940 - mai 1942) relate l’époque où la Wehrmacht régnait en souveraine sur toute la zone occupée. Y sont évoquées les premières exécutions individuelles de personnes jugées et condamnées à mort par les tribunaux de guerre allemands, ainsi que l’implacable engrenage des attentats et des fusillades collectives d’otages en représailles.
La seconde partie (juin 1942 - août 1944) est consacrée à la période où les SS régnaient en maîtres absolus, après la nomination du général Oberg à Paris. Dès lors, la répression se durcit et les fusillades massives s’intensifièrent, en fonction de la notion de “responsabilité collective”.
Outre le véritable assassinat politique des 50 otages d’octobre 1941 à Souge, l’auteur révèle comment la ville de Bordeaux dut, en septembre 1942, compléter le nombre d’otages exigés par Paris. Y est enfin largement évoquée la dernière exécution massive du 1er août 1944, effectuée dans le plus grand secret, et qui reste aujourd’hui encore entourée de mystère.
À travers l’histoire tragique des 257 fusillés du camp de Souge, aux portes de Bordeaux, cet ouvrage, débordant très largement du cadre régional, nous entraîne dans une étude chronologique et rigoureuse du processus des exécutions d’otages mis en place par les Nazis de 1940 à 1944.
La première partie (juin 1940 - mai 1942) relate l’époque où la Wehrmacht régnait en souveraine sur toute la zone occupée. Y sont évoquées les premières exécutions individuelles de personnes jugées et condamnées à mort par les tribunaux de guerre allemands, ainsi que l’implacable engrenage des attentats et des fusillades collectives d’otages en représailles.
La seconde partie (juin 1942 - août 1944) est consacrée à la période où les SS régnaient en maîtres absolus, après la nomination du général Oberg à Paris. Dès lors, la répression se durcit et les fusillades massives s’intensifièrent, en fonction de la notion de “responsabilité collective”.
Outre le véritable assassinat politique des 50 otages d’octobre 1941 à Souge, l’auteur révèle comment la ville de Bordeaux dut, en septembre 1942, compléter le nombre d’otages exigés par Paris. Y est enfin largement évoquée la dernière exécution massive du 1er août 1944, effectuée dans le plus grand secret, et qui reste aujourd’hui encore entourée de mystère.
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