Pain de seigle et vin de grivesMémoires d'un métayer des Landes
Prenant la plume au nom de son père Pierre Castède, l'auteur nous fait partager au jour le jour et au fil des saisons la vie d'une famille de métayers des Landes de 1897 à 1919.
Devenue enseignante rurale, Georgette Laporte-Castède évoque, entre l'Armagnac et la Grande-Lande, les Petites Landes de Labrit et de Roquefort au début du siècle dernier. La polyculture vivrière, l'exploitation de la forêt de pins, l'élevage des races traditionnelles et un embryon d'industrie y coexistent. Si le métayage est à son apogée, on en perçoit déjà les premiers craquements.
Et l'évocation d'une certaine douceur de vivre ne peut faire oublier la menace des intempéries, les fluctuations du marché, l'âpreté des rapports sociaux, en un mot la précarité de la vie.
La voix de Pierre Castède, transposée dans l'écriture précise, fine et malicieuse de sa fille, nous raconte une époque sévère, nous renvoie à un passé de labeur et de pénurie.
Prenant la plume au nom de son père Pierre Castède, l'auteur nous fait partager au jour le jour et au fil des saisons la vie d'une famille de métayers des Landes de 1897 à 1919.
Devenue enseignante rurale, Georgette Laporte-Castède évoque, entre l'Armagnac et la Grande-Lande, les Petites Landes de Labrit et de Roquefort au début du siècle dernier. La polyculture vivrière, l'exploitation de la forêt de pins, l'élevage des races traditionnelles et un embryon d'industrie y coexistent. Si le métayage est à son apogée, on en perçoit déjà les premiers craquements.
Et l'évocation d'une certaine douceur de vivre ne peut faire oublier la menace des intempéries, les fluctuations du marché, l'âpreté des rapports sociaux, en un mot la précarité de la vie.
La voix de Pierre Castède, transposée dans l'écriture précise, fine et malicieuse de sa fille, nous raconte une époque sévère, nous renvoie à un passé de labeur et de pénurie.
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