Les CatharesDes origines de l'hérésie au bûcher de Montségur
Chaque été, des milliers de touristes gravissent les pentes escarpées de châteaux légendaires : Puilaurens, Quéribus, Peyrepertuse, Puivert, Lastours. Mais c’est Montségur qui attire la foule de ceux que l’histoire des cathares captive. Montségur, dernier refuge de ces hommes et de ces femmes qui croyaient à un Dieu différent de celui des catholiques. Montségur, symbole de l’ultime résistance occitane aux envahisseurs.
L’appétit que les passionnés d’Histoire ancienne se sont découvert pour le catharisme est un phénomène relativement récent. S’il prit naissance avec la publication de l’ouvrage de Napoléon Peyrat, « Histoire des albigeois », en 1870, c’est surtout depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que le drame cathare a suscité un intérêt sans cesse accru. Les études et les romans consacrés à tout un peuple qui fut persécuté pour sa foi se sont multipliés avec plus ou moins de bonheur. Pour beaucoup, l’anéantissement des cathares est la conséquence d’une guerre du Nord contre le Sud. De là, un pèlerinage sur les lieux où les hérétiques résistèrent héroïquement aux assauts des croisés assemblés par le pape avec l’appui des rois de France. La religion austère et généreuse prêchée par les parfaits concurrençait dangereusement un catholicisme abâtardi.
Guy Mathelié-Guinlet, dans un ouvrage accessible à tous, nous conte où et comment naquit cette nouvelle religion, pourquoi et comment elle se répandit et fut combattue avec un acharnement terrible, tout d’abord par Simon de Montfort et ses croisés, ensuite par les disciples du fondateur de l’Ordre des frères prêcheurs, Dominique de Guzman, futur saint Dominique. Guy Mathelié-Guinlet est également l’auteur chez le même éditeur de Rennes-le-Château, L’Inquisition, Les Cisterciens. Ariégeois de naissance, on retrouve le nom de sa famille maternelle dans le martyrologe de ceux qui ont combattu pour la cause du catharisme du XIIe au XIVe siècle. Avec cet ouvrage, il livre ses réflexions sur un sujet qu’il a brillamment approfondi et dont les origines – le problème du Bien et du Mal – ne finissent pas de bouleverser le monde.
Chaque été, des milliers de touristes gravissent les pentes escarpées de châteaux légendaires : Puilaurens, Quéribus, Peyrepertuse, Puivert, Lastours. Mais c’est Montségur qui attire la foule de ceux que l’histoire des cathares captive. Montségur, dernier refuge de ces hommes et de ces femmes qui croyaient à un Dieu différent de celui des catholiques. Montségur, symbole de l’ultime résistance occitane aux envahisseurs.
L’appétit que les passionnés d’Histoire ancienne se sont découvert pour le catharisme est un phénomène relativement récent. S’il prit naissance avec la publication de l’ouvrage de Napoléon Peyrat, « Histoire des albigeois », en 1870, c’est surtout depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que le drame cathare a suscité un intérêt sans cesse accru. Les études et les romans consacrés à tout un peuple qui fut persécuté pour sa foi se sont multipliés avec plus ou moins de bonheur. Pour beaucoup, l’anéantissement des cathares est la conséquence d’une guerre du Nord contre le Sud. De là, un pèlerinage sur les lieux où les hérétiques résistèrent héroïquement aux assauts des croisés assemblés par le pape avec l’appui des rois de France. La religion austère et généreuse prêchée par les parfaits concurrençait dangereusement un catholicisme abâtardi.
Guy Mathelié-Guinlet, dans un ouvrage accessible à tous, nous conte où et comment naquit cette nouvelle religion, pourquoi et comment elle se répandit et fut combattue avec un acharnement terrible, tout d’abord par Simon de Montfort et ses croisés, ensuite par les disciples du fondateur de l’Ordre des frères prêcheurs, Dominique de Guzman, futur saint Dominique. Guy Mathelié-Guinlet est également l’auteur chez le même éditeur de Rennes-le-Château, L’Inquisition, Les Cisterciens. Ariégeois de naissance, on retrouve le nom de sa famille maternelle dans le martyrologe de ceux qui ont combattu pour la cause du catharisme du XIIe au XIVe siècle. Avec cet ouvrage, il livre ses réflexions sur un sujet qu’il a brillamment approfondi et dont les origines – le problème du Bien et du Mal – ne finissent pas de bouleverser le monde.
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